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Flocage Nameset pour sublimer vos maillots de foot vintage shirt Marseille modèle THIRD de la saison 2012-2013
Zoom produit : Flocage Reproduction récente
Joueur : 9 GIGNAC Possibilité d'autres joueurs sur demande
Flocage vendu seul sans maillot
La saison 2012-2013 à l’OM, c’est une année de bascule.
L’été commence avec une page qui se tourne : Didier Deschamps part, Élie Baup arrive, et tout Marseille se demande si le club peut repartir sans exploser. Le contexte est tendu financièrement, l’effectif bouge, mais il y a un truc qui ne change pas : la faim de revanche et l’obsession européenne.
Une équipe qui se reconstruit… et qui surprend en Ligue 1
Baup remet de l’ordre, simplifie le jeu, et l’OM retrouve une forme de stabilité. En championnat, ça enchaîne fort au début, ça s’accroche ensuite, et au final Marseille termine vice-champion de France. Dans ce collectif, Gignac reprend une vraie place de leader offensif : il finit meilleur buteur du club en Ligue 1 (13 buts) et sur la saison (18). Bref, l’OM redevient crédible.
Le vrai théâtre européen : pas de Ligue des champions, mais une campagne en Ligue Europa
Petit rappel important pour ton article : l’OM ne joue pas la Ligue des champions en 2012-2013. Le club est engagé en Ligue Europa, via son titre en Coupe de la Ligue 2012.
Et c’est justement ce paradoxe qui rend la saison intéressante : Marseille vit l’Europe avec l’intensité et l’esthétique d’une soirée de C1… sans la C1.
Les tours préliminaires : l’Europe reprend par Gignac
Dès août, l’OM se coltine les tours qualificatifs. Loin d’être glamour, mais hyper révélateur : à Eskisehirspor puis face au Sheriff Tiraspol, Marseille passe sans briller mais avec sérieux. Et là, Gignac plante déjà. Le message est clair : cette saison, il sera un point d’appui, pas un figurant.
Phase de groupes : un groupe rugueux, une ambiance de chaudron
Tirage compliqué : Fenerbahçe, Borussia Mönchengladbach, AEL Limassol. Un groupe qui sent la bagarre, les déplacements pièges et les matchs sous tension. Marseille sort des performances parfois fortes, parfois frustrantes. Il y a cette impression constante d’être “pas loin” : pas loin d’un grand match à la maison, pas loin d’un coup à l’extérieur, pas loin d’une vraie bascule. Mais au fil des journées, l’OM laisse filer des points bêtement, et ça ne pardonne pas. Résultat : 3e du groupe, donc élimination dès la phase de poules.
Ce qui marque, ce n’est pas juste la sortie précoce : c’est la sensation d’un OM en construction, capable de mettre de l’impact et de l’orgueil européen, mais encore trop irrégulier pour survivre dans un groupe aussi dense.
Pourquoi 2012-2013 reste une saison “Gignac/Europe” dans la mémoire des fans
Parce qu’elle raconte un OM paradoxal :
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solide et ambitieux en Ligue 1,
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vivant en Europe mais inachevé,
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et porté par un Gignac qui redevient central dans l’histoire du club
Quand tu regardes le maillot 2012-2013 floqué “Gignac 9”, tu touches exactement ça : une saison où Marseille voulait rejouer les grandes nuits, où le Vélodrome vibrait comme en C1, et où Gignac incarnait ce désir de retour au premier plan. Même sans Ligue des champions au calendrier, l’état d’esprit, lui, y était.